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Aujourd’hui, le bien-être au travail est reconnu par de nombreuses entreprises comme un facteur de productivité et de performance. Désormais, les salariés peuvent compter sur cette évolution du travail pour voir leur vie professionnelle se transformer et leur permettre de s’épanouir au quotidien.
Cette mutation est telle, qu’un collectif s’est formé, fédérant les start-up, les chefs d’entreprises ou encore les investisseurs qui oeuvrent au quotidien “pour faire de l’entreprise un lieu où chacun peut s’épanouir et se développer“. C’est l’objectif de la Happy Tech.
Allons à la découverte de cette association qui promeut le bonheur au coeur du travail !
La Happy Tech : quésaco ?
Après la FinTech créée en 2015 ou encore la FoodTech qui regroupe les entreprises qui utilisent le numérique dans le domaine de l’alimentation, souhaitez la bienvenue à cette nouvelle association : la Happy Tech !
Constatant le développement de la notion de bonheur, les fondateurs de ce label ont décidé de rassembler les entrepreneurs, financiers, ou chefs d’entreprises qui, sensibles à cette notion, tentent au quotidien d’aider leurs employés à s’épanouir dans leur vie professionnelle. Implantés en Europe, Amérique du Nord ou encore en Australie, l’association Happy Tech regroupe des entreprises prestigieuses telles que Comeet, CoWork.io, Boost Your Fit ou encore We Hobby.
En 2018, cette association qui prône le bonheur, a pour objectif de rassembler plus de 100 entreprises. Et leur ambition ne s’arrête pas là : lors du dernier salon Viva Tech, les fondateurs de la Happy Tech ont pu interpeller le président de la République, Emmanuel Macron.
Leur nouveau défi ? Faire de la France le pays leader de la Happy Tech.
Quels sont les objectifs de la Happy Tech ?
La Happy Tech International Committee, nom officiel du Comité International de la Happy Tech élabore chaque année de nouveaux grands axes. Leur première mission est de soutenir des entités locales pour se développer à l’international.
Concrètement, ce label peut aider un chef d’entreprise français de s’implanter dans un autre pays, à l’étranger. Pour cela, de nombreux experts peuvent aider les participants dans la gestion de projet, dans le financement de cette implantation à l’international. La Happy Tech met également à la disposition des entrepreneurs une collaboration avec l’Essec Business School qui vous permettra de profiter de sa Chaire d’enseignement et de recherche afin que vous puissiez vous appuyer sur des chiffres et des résultats provenant d’études sérieuses, menées par des scientifiques. L’association permet aussi à leurs adhérents de profiter d’une plateforme technologique et d’une aide juridique pour la création d’une nouvelle implantation à l’étranger de votre société.
Évidemment, la Happy Tech souhaite réunir les membres de son association le plus fréquemment possible, afin d’échanger, de discuter et d’apporter sa propre vision du travail mais aussi ses conseils. Comme une grande famille, la Happy Tech permet aux entrepreneurs de pouvoir s’exprimer afin de promouvoir le bonheur dans toutes les sociétés françaises !
Devenir plus performant grâce à la Happy Tech
Les fondateurs de cette association sont partis d’un constat simple : “en France, la productivité est en baisse, l’absentéisme augmente et le stress au travail et les burn-out s’intensifient. Le coût du mal-être est un impact économique que l’on estime à 12 600 euros par salarié et par an dans le secteur privé (étude cabinet Mozart consulting). Le constat n’est pas différent dans le monde.“. Les entreprises adhérant à l’association souhaitent réduire ce gaspillage grâce à des méthodes, des outils favorisant le bien-être en entreprise. Un de leurs objectifs est de partager à un maximum de société leur notion de bonheur au travail via l’utilisation de nouvelles technologies : intelligence artificielle, big data, cloud… “Notre ambition est de lancer cette impulsion au niveau mondial puisque le mal-être au travail n’a pas de frontière“, tel est leur leitmotiv.
Pourquoi devenir adhérent de la Happy Tech ?
Évidemment plus les rangs de l’association seront épais, plus leur résonance sera grande et plus le bonheur en entreprise sera prôné. Sur son site internet, la Happy Tech permet aux chefs d’entreprise de remplir un petit formulaire s’ils souhaitent intégrer l’association. Mais au final, pour quoi faire ? Comme le rappellent les fondateurs, la QVT (Qualité de Vie au Travail) et le RSE (Responsabilité Sociale des Entreprises) sont désormais au coeur des problématiques des entreprises actuelles. A noter, qu’un nouveau métier a fait son apparition ces dernières années : le Chief Happiness Officer ou encore, la personne qui va tout faire pour que la totalité des salariés s’épanouissent dans leur vie professionnelle.
Ainsi, les entreprises mettent désormais en avant leurs “mesures bonheur” pour attirer de plus en plus de perles rares. Ces axes passent le plus souvent par le biais de la technologie, qui est dorénavant omniprésente dans notre quotidien professionnel. Si vous souhaitez adhérer à l’association Happy Tech, vous optez alors pour un environnement de travail stimulant, des perspectives de développement ayant un seul objectif : développer le bien-être au travail !
Comment devenir un partenaire du comité international de la Happy Tech ?
Si ces nouvelles perspectives vous séduisent, il est alors clair que vous pouvez devenir un partenaire de la Happy Tech. Vous partagez les mêmes valeurs, les mêmes principes et la même vision du travail que cette association ? Alors n’hésitez plus. Si pour vous, le bonheur professionnel est d’une importance capitale, et que vous souhaitez participer au rayonnement de ces valeurs, vous êtes prêt à intégrer l’association.
Comment faire ? Il suffit de transmettre vos coordonnées afin d’être recontacté par Happy Tech. Par la suite, il faudra présenter à l’association votre solution pour la promotion du bien-être au travail et convaincre le comité de votre valeur ajoutée. Et hop, vous ferez partie de cette association qui souhaite avoir une résonance mondiale et un impact direct sur la vie des employés !
Vous l’aurez compris, le bonheur et le bien-être sont deux notions qui font partie de la nouvelle image que l’on a du travail. A noter que les jeunes diplômés recherchent désormais des entreprises où le bien-être est mis en avant, via des exemples de la vie courante : des pauses-déjeuner en commun, où tous les employés sont assis autour d’une table, des pauses gourmandes, ou encore des petites compétitions sportives entre salariés. Vous le voyez, ce n’est pas si difficile de rendre un travailleur heureux.
Vous souhaitez vous faire accompagner dans l’évolution des modes de travail dans votre organisation ? Contactez-nous !